



Jean Yves Delandhuy notre Président

d’éric Darrouzet et de beesforlife
Fumée matinale c’est l’intitulé de cette photo qui a participé au concours de photos dans la rubrique « apiculteur » au 44éme congrès de la FNOSAD le 15 octobre 2023 à Périgueux. Pourquoi cette photo est sur le site du rucher école??
Cette photo à remporté le 1er prix dans sa catégorie, elle a était prise par AURELIEN…. le fils de notre Président. Félicitation à lui.
Cyril dit :
Un premier prix bien mérité!
On sait qui était derrière le viseur, mais qui était devant……???
Y a trop de fumée!!!! mais je pense que c’est un apiculteur qu’il doit bien connaitre…
La dynamique équipe des apiculteurs qui œuvrent ou se forment au rucher école a eu le plaisir, comme chaque année, le second dimanche de septembre, d’ouvrir grandes ses portes au public.
Nous avons reçus aussi bien des fidèles habitués venant renouveler leur provision de miel fraîchement récolté que d’anciens adhérents désireux de retrouver l’ambiance chaleureuse et très professionnelle de notre rucher .
Nous avons rencontré aussi, sur notre domaine, beaucoup de curieux, de sympathisants voire de candidats à notre excellente formation apicole, dispensée par des formateurs passionnés et généreux.
Au programme, l’arborétum, les ruches, le verger, la mythique statue de la vierge où se réfugiaient des essaims- offerte par un prêtre apiculteur -, les bâtiments d’extraction, la salle conviviale et la rencontre avec tous les acteurs du rucher-école.
En l’absence d’un étiquetage clair, les mélanges de miel posent un double problème au sein de l’Union européenne. D’une part, les apiculteurs se trouvent lésés, d’autre part, le consommateur est incapable de connaitre l’origine du produit qu’il va consommer.C’est ce qui a poussé les ministres de l’UE à demander un étiquetage plus clair.
On parle de mélanges de miel dans deux cas :
– Un produit récolté, par le même apiculteur, de plusieurs ruches
– Un produit issu de miels récoltés dans des pays différents.
La demande formulée par les ministres de l’UE appelle à modifier les termes de la directive 2001/110 / CE. Celle-ci visait à harmoniser la législation concernant la commercialisation du miel dans les pays membres de l’UE. Concernant le mélange de miel originaire de pays différents, européens et autres, elle stipule qu’on n’a pas besoin de mentionner clairement le nom de chaque pays source. On peut, selon les cas, se contenter d’un étiquetage du genre :
– «mélange de miels originaires de la CE» :
– «mélange de miels non originaires de la CE»
– «mélange de miels originaires et non originaires de la CE».
En fait, la demande, formulée le 30 janvier 2023 par les ministres de l’UE, appelle à réviser la directive de 2001, parce qu’elle porte préjudice à la fois au producteur de miel et au consommateur .
En effet, le manque d’information sur l’étiquette accolée au produit déroute le consommateur. Celui-ci est incapable de savoir de manière claire et précise l’origine réelle de ce qu’il s’apprête à consommer. Comment peut-il se retrouver au milieu de ces mélanges de miels originaires et non originaires ?
Pour les ministres des États membres, rassemblés pour le Conseil « Agriculture et pêche », il faut également penser à protéger le producteur de miel. Quel que soit son pays d’origine, il se trouve soumis à la même législation que les autres producteurs exerçant dans des pays différents.
Or, en France, le kilo de miel varie entre 10-30 €, alors qu’en 2021, en Ukraine il était à 1,89 €, et en Chine à 1,36 € ! C’est ce qu’a dénoncé d’ailleurs la Slovénie, lors de cette rencontre.
Alors, comment le producteur français peut-il faire face à une concurrence pareille ? Sachant que 70 % de la consommation nationale est importée.
Un étiquetage plus clair doit mentionner deux informations nécessaires : l’origine exacte de la production du mélange de miel et la part de chaque pays d’origine dans le mélange de miel réalisé. Deux exigences qui mettent fin à toute confusion et toute ambiguïté quant à la qualité du produit en question.
Cette mesure permettra de regagner la confiance du consommateur et de rendre le marché apicole plus transparent et plus rentable.
Récemment, la France a imposé un étiquetage similaire, mentionnant les pays d’origine et leurs pourcentages de contribution, par ordre croissant. Seul bémol : ce décret ne s’applique qu’aux mélanges de miel conditionnés en France.
Les têtes pensantes du projet finalisent les plans
La mise en hivernage des ruches, cette année en prime la nécessité du nourrissage quand les conditions climatique et la nature n’apporte plus aux abeilles la nourriture qui leur est essentielle pour passer l’hiver
Les éléves de seconde du lycée Bellevue sont venus faire connaissance avec le monde des abeilles. A la question posé : que trouve t’on dans une ruche? Vaste programme qui a passionné les néophites puisque ce monde que l’on a essayé de leur faire découvrir et en rapport avec leur option choisie au bac.
il ont aussi découvert comment on extrait le miel et ont activement participé à la désoperculation et tourné la manivelle de l’extracteur.
Les abeilles ne sont pas agressives par nature. S’ils arrivent qu’elles piquent, c’est pour défendre leur territoire, leur ruche ou leur reine.
Toutes les abeilles ne piquent pas. Seule la femelle pique. Le mâle, connu sous le nom de faux bourdon, ne le peut pas, car il ne possède pas de dard.
À la différence de la guêpe ou du frelon, l’abeille meurt après avoir piqué. C’est à cause de son dard.
Lorsqu’elle pique, elle abandonne dans notre peau son dard qui prend la forme d’un harpon. Nos chairs se referment et l’empêchent de sortir. Pour s’échapper, elle se voit contrainte d’abandonner une partie de son abdomen contenant sa glande à venin. L’abeille est alors condamnée à mourir dans les heures ou minutes qui suivent.
La reine, contrairement à l’abeille ouvrière, peut piquer plusieurs fois sans mourir. Tout est question d’anatomie. La reine se limite à piquer ses rivales ou de petits insectes qui entrent dans sa ruche.
Les piqûres d’abeille ne sont pas mortelles, bien qu’elles soient douloureuses. Elles ne le deviennent que si elles sont nombreuses, en raison de l’accumulation de venin. On estime que le risque mortel existe au-delà de 200 piqûres.
Que faire en cas de piqûre ? Première chose : rester calme et ne pas s’affoler. Ensuite, retirez le dard – à l’aide d’une pince à épiler, par exemple – puis désinfectez. En cas de réaction allergique ou d’évanouissement, contactez votre médecin
info parue dans le journal « La voix du Nord »